«Who run the world? The girls girls!» «Who run the world? The girls girls!» s’écrit la chanteuse Beyonce dans l’une de ses chansons populaires. Ce hit avait le tour du globe en 2011. On peut s’interroger quant à la création de cette chanson. Dans le milieu du showbiz, la femme n’est pourtant pas illustrée comme un symbole de dominance, mais plutôt comme une proie très facile à atteindre et dont on peut utiliser quand bon nous semble bref : la dominé.
Pourquoi une telle chanson est-elle apparue ? Serait-ce pour redonner confiance aux femmes ou du moins leur donner l’impression que l’on se préoccupe d’elles ? Pourtant, la chanteuse Beyonce (étant elle-même de la gente féminine) fait partie de cette génération de chanteuses très exhibées s’étant selon moi «vendu» à l’industrie au détriment de l’image de la femme. Qui est-ce qui gouverne ici? Ce n’est certainement pas les femmes!
Elles se plient constamment aux exigences de la norme (élaboré par une culture collective) et veulent toujours en faire plus, se démarquer. Prenons par exemple Madona : son but a toujours été et sera toujours de provoquer. Pourquoi vouloir autant provoquer ? Pour avoir l’attention?
Selon moi, la faute sur le résultat de l’image de la femme dans les médias ne revient pas seulement aux hommes. Oui mes dames, vous avez compris, la gente masculine n’est l’unique responsable de notre situation… du moins, il ne l’est pas à 100%. Le fait est que les femmes ont toutes cette tendance bien ancrée dans leurs biologie à vouloir plaire et ce, même si le geste leur parait consciemment irrationnel. La femme a toujours voulu plaire et c’est pour cette raison qu’elle se plie aux exigences de la société. Ce comportement est, je crois, purement animal. Par exemple : Les meilleurs endroits pour analyser le comportement animal ou voir même primitif des humain sont les bars, les night club plus particulièrement. Les mâles scannent les environs à la recherche d’une femelle à féconde tandis que celles-ci fait tout pour plaire à l’un d’eux. Bien entendue ce phénomène ne se répète pas pour un grande partie de la population. Cependant cela est bel et bien dans les clubs que l’on peut assister à ce comportement aussi flagrant soit-il.
En bref, je ne peux m’empêcher de croire que la femme n’aide involontairement en rien sa condition de par sa nature naïve et son énorme besoin d’attention. Que pouvons-nous faire alors pour améliorer la représentation de la femme dans les médias? Ceci est malheureusement une question à laquelle je n’ai pas actuellement les compétences de répondre.